Madeleine Pastinelli questionnée sur l’hyperconnexion

Madeleine Pastinelli commente la dépendance aux réseaux sociaux motivée par le désir de ne rien manquer de ce qui se passe en ligne : « Sur Facebook, quand on se met à discuter d’une question, une tempête peut se jouer en l’espace de quelques heures. Si on ne se branche pas, on manque ce qui se passe. »

Ce contenu a été mis à jour le 1 février 2019 à 21 h 34 min.